La lune, belle et brillante, franchit le haut du mur de la famille Ji. Elle sourit à l’enfant Bao-Huang et fait souffrir son père. Car avec la lune, c’est une marée d’amour qui afflue et submerge l’homme : cela fait cent jours que sa bien-aimée les a quittés. Pourtant, c’est la fête aux lanternes sur le lac et papa a promis d’y emmener Bao-Bao...
Ce superbe texte d’un auteur taiwanais du XXe siècle évoque le sujet sensible de la disparition d’une maman qui laisse ensemble un papa et un enfant devant la vie. Une histoire tendre sur les forces de la vie qui donne à entendre que chacun avance à son rythme et qu’alors l’essentiel est bien de vivre côte à côte malgré tout. A la fin de l’album, on « Découvre neuf mots en chinois » et l’on apprend qu’en langage courant, à Taïwan, on appelle la lune « Lune-maman ».
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